Quand JPMorgan recommande à ses clients de se débarrasser des obligations sénégalaises, ce n’est pas une simple note de marché, c’est un acte d’accusation. Traduction : la dette du Sénégal n’inspire plus confiance. Mieux vaut vendre avant que ça ne s’effondre complètement.
Pourquoi ? Parce que ce gouvernement bricole l’économie comme un apprenti sorcier. Après des mois d’improvisation, d’excuses et de chiffres bancals, le Sénégal perd toute crédibilité sur les marchés financiers. Même Wall Street a compris que ce régime est un risque à lui seul, une vraie machine d’autodestruction.
Résultat ? Nos obligations plongent. Les investisseurs fuient. Les taux d’emprunt vont exploser. Et devinez qui va payer l’addition ? Le peuple, qui verra le coût de la vie s’envoler pendant que l’État tentera désespérément de combler ses trous budgétaires.
Mais au lieu d’affronter la réalité, que fait ce gouvernement ? Il nous sert des distractions, crée des polémiques inutiles et accuse la presse d’inventer des crises. Pendant ce temps, les financiers du monde entier ont tranché : le Sénégal est un pari trop risqué.
Un pays qui perd la confiance des marchés, c’est un pays qui fonce droit vers une crise majeure. Et dans cette histoire, il n’y aura pas de VAR pour corriger leur erreur.
Thierno Diop
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